Il arrive un moment où la souffrance pose une énorme pierre sur notre coeur. Alors on peut désirer s'asseoir sur une pierre comme celle-ci . Lorsque nos espoirs meurent avant nous, on ne vit plus pour soi-même, on vit autant pour la vue d'une fleur, pour un parfum ou pour un passant dans la rue, qu'on vivait pour les êtres aimés ou les désirs personnels. Nous sommes en sursis.