Mon père est un molosse qui dévore l'intérieur de mon crâne. Il est présent dans chaque recoin de mon cerveau. Il bouffe ma joie, il bouffe mes espérances. Durant la nuit, souvent, je reste éveillé et je l'écoute qui se promène dans ma tête, qui inspecte ma vie, qui en ravit tout ce que je voudrai beau. (p.11)