C'était une belle soirée de février. La tempête faisait rage, le vent cinglant hurlait dans mes oreilles. La plage a son propre langage, avec son ruban ondulant de limon, les hiéroglyphes laissés par les pattes des oiseaux. En se retirant, les vagues font apparaître un nombre incalculable de trous dans le sable. Des bulles se forment pour s'évanouir aussitôt. C'est un nouveau langage, avec un nouvel alphabet, que je vais apprendre à lire.