Comme chaque fois que le cousin Hector venait tortorer at-home (de Savoie), après le dessert, contrairement à ce que préconise une chanson de salle de garde, nous ne savions plus quoi foutre et nous nous regardions en cousins de faïence, lui et moi, pendant que Félicie, ma brave femme de mère, faisait la vaisselle. Ordinairement, j'essayais de m'esbigner en loucedé, mais M'man était si désemparée en me voyant mettre les adjas que j'avais de moins en moins le courage de l'abandonner entre les griffes d'Hector.