L'homme, tu prends une position confortable et tu le regardes vivre, agir; en moins de rien tu es fasciné. Il te capte, te surprend, t'emmène . Là, le drame véritable commence. Car, tout à ta subjuguance, tu cherches à communiquer avec lui. T'as besoin de lui expliquer que tu es un homme, toi aussi, et que, par conséquent, un homme plus un autre homme, ça doit faire deux hommes. Mais il ne l'entend pas de cette oreille, le fumier.
Non plus que de l'autre.
et la dure évidence te vient, anéantisseuse d'espoirs.
Un homme, plus un homme, ça égale un homme plus un homme, mais jamais deux hommes.