Moi qui suis un homme libre (du moins autant que faire se puisse), je ne m’embarrasse pas de ces agressions endémiques que représentent les bandoulièries (De bandoulière) kodakeuses ou nikonesques. Ces forçats de la pelloche me font pitié, quelque part, d’être sans cesse aux aguets pour flasher. Ne regardant qu’en fonction d’un objectif et jamais pour le compte de leur émotivité personnelle.