Il restera toujours dans la mort d’un être cher une part d’absurde, dont nous ne sous déférons jamais et dont nous porterons la colère inconsolable toute notre vie. Mais l’inexplicable absurdité de cette disparition ne nous condamne pas à l’incompréhension d’un monde dont nous subirions, écrasés par le destin, les lois aveugles. Pour comprendre la catastrophe, il faut changer de point de vue, s’intéresser moins au matraquage d’images qu’au hors champ, et lire le 12 janvier à travers l’étude d’une histoire et d’une situation