II savait seulement qu'il ne suffisait pas d'agiter sous leur nez une bourse bien garnie. Les courtisanes n’étaient pas des prostituées au sens habituel du terme. Elles avaient une réputation à maintenir, des caprices qu’il fallait honorer, des susceptibilités à ne pas froisse. Un homme était censé prendre plaisir à les courtiser, et faire leurs quatre volontés afin d'obtenir leurs faveurs.