Se soumettre paraît impossible. Se révolter, improbable.
Manifester ce dilemme s'impose, dans l'espoir de mobiliser.
Serait-ce la fatigue d'être fatigués qui agit enfin ?
Le désenchantement
à avoir consenti à être par trop désenchantés ?
Le déclic est là.
Il s'apparente plus aux représentations survivalistes du grand réveil qu'au mythe anarchiste du grand soir.