La littérature napoléonienne, déjà fort abondante, s'est enrichie de plusieurs ouvrages, qu'il convient de placer dans nos bibliothèques, au bon coin et à part. La Jeunesse de Napoléon, par M. Arthur Chuquet, n'est pas une oeuvre de polémique, ni un monument d'admiration béate, ni enfin un de ces manuels d'arrivisme, que l'étonnante fortune de l'Empereur a fait éclore, ces temps-ci, dans des cénacles cyniques et naïfs.