Là-bas, sur la plage de Coz-Coad ou sur celle de Ker-Elen. les vagues viennent doucement lécher le sable, déposant écume et algues sur l'estran, effaçant les pas des amoureux, effaçant les traces des drames et celles de la joie. Chaque jour, à chaque heure, à chaque minute, indéfiniment, au rythme des marées, elles continueront leur travail, elles laveront les plages de leurs déchets, de leurs tragédies et de tous les souvenirs du monde.