Le diktat du feel good, de paraître positif ou l'injonction à être heureux met une énorme pression. En ce sens, Weller trouve la peine subversive : " C'est un acte de protestation qui déclare notre refus de vivre engourdi et petit (...) C'est pour cela que la peine est nécessaire à la vitalité de l'âme. Contrairement à nos peurs, la peine est inondée de force vitale." Comme le dit Joanna Macy, " un cœur qui s'ouvre peut contenir tout l'univers."