Au gré des restaurations, des changements de présentation, parfois aussi en exode pour échapper aux guerres, les œuvres bougent. La « Vénus de Milo » est mise en caisse en 1939 ; « Les Noces de Cana » immense toile de Véronèse, est raccrochée ; la « Diane » de Houdon part, primesautière, sur sa machine.
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