Il y a des usages de la notion de « collectif » qui libèrent, assurent, protègent. Mais il y en a d'autres qui aliènent, exercent des contraintes, mutilent, répriment. La plupart font tout cela en même temps. Il n'y a pas beaucoup de sens à être « pour » ou « contre » la destruction ou la construction de collectifs. Il faut s'interroger, chaque fois, sur les effets de l'inclusion et de la création de dispositifs de socialisation et d'appartenance.