Découvrir en Modimbo un ministre pour rire n’est pas à la portée de n’importe qui. Il y faut de la simplicité. Avit s’opiniâtra, demandant successivement si l’ostracisme (l’ostracisme !…) qui le frappait avait bien fait l’objet d’une délibération du cabinet, et pourquoi la chose lui était signifiée par le ministre de l’information et non pas, comme c’est l’usage, par le ministre de l’intérieur, et enfin pourquoi, oui : pourquoi, le motif !