Rien ne distinguait vraiment cet immeuble de tous ceux qui birdaient la rue San Pablo.
C'était une maison de cinq étages, dont la façade lépreuse s'agrémentait de balcons étroits où les locataires, comme la plupart de leurs voisins, s'ingéniaient à cultiver en pots quelques géraniums rachitiques et des plantes vertes que le manque de soleil et de lumière rendait pâles, maladives, anémiques.