Plus de trente ans après la disparition prématurée de l'écrivain, en 1982, la fortune posthume de l’œuvre de Georges Perec semble assurée, dessinant le portrait d'un classique moderne qui réunirait, d'une façon un peu inattendue, les motifs éminemment baudelairiens de l'éternel et de l'éphémère.