Ce qui est le plus net pour moi dans le travail sur "Je me souviens", c'est que je ne suis pas le seul à me souvenir. C'est un livre que je pourrais appeler "sympathique", je veux dire qu'il est en sympathie avec les lecteurs, que les lecteurs s'y retrouvent parfaitement. Ca fonctionne comme une sorte d'appel de mémoire parce que c'est une chose qui est partagée".