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Citation de alzaia


alzaia
31 décembre 2012
Une maxime se travaille, se pense, profite de l'homme, est civilisée. Un mot la fait surgir. Un contact. Elle est court-circuit, mais les plombs sont réparables. L'aphorisme se passe de l'homme. Se fait et défait tout seul. Méprise. Il est le signalement le plus fier de l'indifférence. Ne sollicite, ne flatte ni l'amour ni l'opinion. Rien de politique. Il dit - s'il disait quelque chose - à peu près ceci " Ce n'est pas la peine de raisonner, de déraisonner. Ce n'est pas la peine. Je viendrai quand ça me chantera, sans que ton bel esprit y soit pour rien. Ca dépend plutôt(...) d'un angle (...) qui fera s'ouvrir toute les écluses. Quand toutes tes portes ouvertes seront en parfaite file indienne, ce sera à moi de les enfoncer (...) Ne te fatigue pas. Et surtout ne fais pas attention à moi. Fais comme si je n'existais pas. Car je n'existe pas.(...) Si tu veux m'attraper, tu déclenches les cloches de se pays qui s'appelle Folie. Va, et ne t'inquiète pas. Continue de penser que deux et deux font quatre puisque tu l'as trouvé, ou l'as appris. Sans croire m'intimider en proclamant que deux et deux font cinq. Ne te rends pas ridicule je t'en prie. N'essaie pas de me séduire. Courtise plutôt les femmes (...) et si jamais c'est par elles que tu deviens fou, ne fâche pas si tu entends derrière toi un grand éclat de rire
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