Encore et toujours des vendeurs de rien, comment peuvent-ils gagner leur vie ?
Et très vite après la place, la misère vous saute aux yeux, celui-ci fouille une poubelle, celle-là est assise en tailleur sur un carton, elle allaite pudiquement son enfant aux pieds sales. Cet autre souffle dans un petit sac en plastique noir, les yeux perdus, hagard. Les touristes passent.