Un matin, toute la France apprend que François Mitterrand, longeant le trottoir de l'avenue de l'Observatoire [...] a été attaqué à la mitraillette par des individus en voiture. Il n'a dû sa vie qu'à sa présence d'esprit ; il a sauté par-dessus la grille et s'est caché dans un bosquet [...] un individu nommé Pesquet [...] déclare froidement qu'il s'agissait d'un faux attentat organisé par lui avec l'accord de M. Mitterrand. [...] L'instruction est arrêtée depuis des années.