Il a suffi d’un regard, d’un mot de lui pour que la femme de caractère devienne une marionnette soumise à un désir enfoui au plus profond de son être. Sonia pousse la porte vitrée, une horloge indique 4 h 40. Des valises près de l’ascenseur indiquent qu’un groupe de touristes s’apprête à partir.