" Je rentrai à Lignac, le coeur gros. Le regard de Gervais était encore en moi. Ses larmes brillantes comme des braises me brûlaient. Il fallait donc être sans coeur pour faire mon métier ! Mes jambes étaient lourdes. Je me disais que, plus tard, les hommes inventeraient une machine pour remplacer les facteurs, une machine froide distribuant les lettres et les destins d'une manière mécanique et insensible à la douleur qu'elle sèmerait autour d'elle." p.216