Puis j'ai su que les victimes de 1848 étaient enterrées aussi, dans le soubassement de la colonne, avec celles de 1830. Emouvant. C'est quand même ces gens-là qui ont viré les rois une bonne fois pour toutes. Depuis, à part un épisode tragicomique au nom burlesque de Napoléon III, on vote dans un isoloir, qu'on soit pauvre ou rupin. On se fait baiser aussi, bien sûr, mais ça me botte que la voix du prolo compte autant que celle du patron.