" Parfaitement vêtu, coiffé, rasé et manucuré il entra porteur de son lourd attaché-case et d'une odeur que les jours passant n'avaient fait qu'accentuer. L'odeur de la crasse humaine, paraît-il, ressemble à l'odeur qui émane aux premiers jours d'un corps mort en décomposition. La peau se transforme en champ de ruines, l'intérieur de l'enveloppe charnelle en usine chimique. L'acide butanoïque prend le dessus sur l'air ambiant. La catastrophe relationnelle est totale. L'île humaine apparaît. "