Il y avait une odeur désagréable dans le couloir. Un collègue au désespoir lui demanda sa clef des toilettes, mais Doni ne l’avait pas sur lui. Il y avait fort peu de lavabos au Palais (on les avait condamnés pour en faire des bureaux), et ils étaient tous verrouillés. Disposer de toilettes correctes – comme Doni – était considéré comme une grande chance et comme un signe extérieur de pouvoir. (p. 58)