Mais soyons sérieux. Je suis absolument convaincu de ce que, en dépit de ce vieux ragot qui veut qu'un bon romancier n'ait pas besoin d'un nom de plume, une partie de votre personnalité fonctionne correctement dans une certaine structure de vie, un certain style, sous un certain nom, et qu'une autre ne fonctionne que si vous en changez. Moi-même, par exemple, j'ai été incapable d'écrire vraiment avec humour jusqu'au moment où j'ai pu me présenter sous un pseudonyme.