Anthropologue de formation, elle avait compris qu'appartenir à un gang était un don du ciel pour des gamins qui ne trouvaient plus personne pour les aimer. En l'absence d'une mère ou d'un père aptes à les élever, cela leur offrait un abri ô combien bienvenu face à ce que Gabrielle avait fini par nommer "la tempête qui vient".