- Monsieur le Maréchal, je me permets de vous rappeler qu’une offensive Franco-Américaine est prévue le 14 en Lorraine, avec comme finalité d’obtenir la capitulation de l’armée allemande en rase campagne.
- je ne puis pourtant continuer à laisser tuer des soldats français si l’armistice me donne tout ce que je pouvais espérer de la victoire...
- il faut penser, non pas aux soldats qui peuvent tomber dans notre dernière offensive, mais aux 1 500 000 qui sont déjà tombés et qui ont bien droit à une paix à la hauteur de leur sacrifice...