Les années et la maladie avaient fait leur office et si, jusque-là, il avait été conscient et dans un état stable, il ne faisait nul doute qu’il était au crépuscule de son existence. Et que la nuit tombait. Seules les nombreuses machines auxquelles il était relié le maintenaient encore dans ce bas-monde. Mais les choses devaient suivre leurs cours et les médecins le savaient.