Il nous faut réapprendre la flânerie. Non pas celle où l'on promène un cœur vide et une âme sans pensée. Mais la flanerie féconde qui est comme une retraite en soi-même. Au hasard de mille promenades solitaires, on découvre plus de trésors que n'en contiendront jamais tous les lagons secrets des îles de corail.