Traversant en trombe le salon,il bondit sur la terrasse en criant sans se retourner : "Je te reverrai ce soir...La lumière du jour n'est pas faite pour moi !"Il courait maintenant sur la pelouse,contournant son portrait floral qui lui aussi commençait à reprendre des couleurs.Courant derrière lui,je criai : "Plouf : je t'en prie,reste!" Il ne me répondit pas.Quand j'arrivai devant la tombe,il n'était plus là.Il avait rejoint son amour éternel.