Comme l’a écrit Jean-Charles Bonenfant, « certains lecteurs ont l’art de déformer les titres et le bibliothécaire n’a pas le droit de se moquer de leur ignorance. Il doit se contenter de manifester un peu d’imagination et se souvenir, par exemple, que si on lui demande Nid de guêpes, ce ne peut être que Nœud de vipère de François Mauriac. »