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Citation de leschroniquesdemadokablog


Il posa ses lèvres sur les miennes. Je fus saisie d'un trouble inouï. Chaque centimètre de ma chair se mit à vibrer, tandis qu'il caressait mon dos, tout d'abord très doucement, puis me renversant progressivement en arrière, avec une intensité telle, que je crus défaillir. Sa bouche me pressait, j'étais effrayée par sa force, vaincue par mes nerfs qui me trahissaient. C'était comme s'il s'insinuait d'un seul coup en moi. J'avais l'impression d'être prise dans l'oeil d'un cyclone. Il retenait mes mains derrière mon dos, comme prisonnière, faisant bomber ma poitrine contre la sienne. Avec son autre main, il caressait mes cheveux, les tirant légèrement en arrière accroissant le plaisir j'éprouvais à me faire embrasser de la sorte (...). Il finit par me serrer si fort, si pressément, que je le suppliai :
— Arrête, ou je vais m'évanouir...
Il sourit (tant de beauté était insoutenable).
— Je veux que tu t'évanouisses. Je veux te faire t'évanouir. Aucun homme ne t'a jamais embrassé comme ça, hein?... Même pas cet imbécile de William!
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