Ma vraie demeure est sise aux terrasse du Ciel,
Dont les brumeux sentiers bloquent les visiteurs.
Cent mille pieds d’abrupts protègent ma retraite :
Le palais des rochers que baignent mille rus.
je longent les torrents, affublé de branchages,
je traîne autour des pics dans ma vieille pelisse.
Depuis que j’ai compris que la vie est magie,
Je jouis de flâner ; comme c’est merveilleux !