Des filles naïves qui se faisaient mener par le bout du nez.
...leurs salauds de maris leur parlaient comme à des chiens...
A celles-là, je racontais ce que j'avais entendu dans mes écoutes. A quel point elles étaient prises pour des connes, afin qu'elles cessent d'aller deux fois par semaine au parloir chargées comme des mules de sacs de linge.