Nous vivons en des lieux où la réalité crue des fermes, des chemins et de la vie des habitants côtoie celle des sous-bois hantés, des châteaux effondrés noyés dans le brouillard, des mares secrètes qu’on jurerait cernées de présences invisibles. Dans nos cerveaux d’enfants, ces deux réalités s’entendent parfaitement.