Donc, tout tatoué entend cette phrase dès la première empreinte, souvent elle vient des parents :
– Mais c’est à vie?
– Oui.
Faut voir les visages, les yeux tombent presque, la bouche fait une grimace, on dirait Le Cri de Munch.
A ça, j’ai une parade, et je la livre volontiers à chaque tatoué qui lira ce livre:
– Tu m’as bien faite moi, c’est irréversible, non?