Maria est assise sur le sol, recroquevillée sur elle-même et attachée à une chaise. Elle a le visage en sang et son dentier gît, en morceaux, sur sa chemise de nuit maculée. Puis il voit l’un des pieds de Johannes. Mais seulement le pied. Le reste de son corps est caché derrière le rideau. Il revient vers sa maison en boitillant et enjambe de nouveau la clôture. Son genou lui fait mal, tandis qu’il avance ainsi, en titubant de désespoir, sur cette terre durcie par le gel. Il commence par appeler la police.