J'ai revu Jean d'Ormesson à plusieurs occasions. Par exemple, lors des cérémonies organisées pour l'entrée au Panthéon des cendres de Malraux, lors de colloques à l'Académie diplomatique, en marge de séances solennelles de rentrée au quai Conti, chaque fois il venait discrètement, l’œil lumineux, me toucher le coude d'une tape amicale. p. 473