La visite du bureau de censure avait été curieusement porteuse de chance : en deux temps trois mouvements, et l'affaire était dans le sac. Trop vite pour que cela plaise à Fedor Sokhatch, habitué depuis l'enfance à prêter avec circonspection l'oreille au silence de la forêt. Et la Princesse disait aussi souvent : si une affaire que tu ne connais pas s'arrange trop bien, empresse-toi de ne pas y croire.