Ils approchaient de la pointe de Penerf et les mugissements du vent, que plus rien ne freinait, semblaient avoir encore pris de l'ampleur. La voiture tanguait sur ses roues, le sable arraché aux dunes venait se coller sur le pare-brise. "An ifern yen", songea Kervilin, "l'Enfer froid", cela devait ressembler à quelque chose comme ça.