A l'époque, Papa ne croyait pas en Dieu. Il accueillait souvent les évocations maternelles su Très-Haut avec une irritation sarcastique. Aussi n'aurais-je pas dû m'étonner lorsqu'après la mort de Maman, il lui arrivait de dire une prière ; le sarcasme, bien souvent, cache une fascination secrète. (p. 15)