Honma Akira

Un manga aux personnages hauts en couleurs ! J'ai adoré les parallèles entre le lapin et le tigre, les dessins sont très drôles.

C'est croustillant ! Je vais vite lire la suite !

Un excellent yaoi tout en douceur (avec quelques dialogues bien crus, quand même !) et en humour.

Les dessins sont clairs et beaux, les personnages très attachants.

Je vais vite me procurer la suite et surveiller les autres traductions de l'auteure.



Merci Taïfu Comics et Babélio ^^

Un excellent second tome qui mélange humour, tendresse, situations crues. Les personnages sont attachants et loufoques.

J'ai hâte de lire le tome 3 (dernier tome de la série) !

N°846 – Décembre 2014.



Docteur Lapin et Mister Tigre – Akira HONMA.(Volume 1)-Taifu comics



Je ne suis pas familier des mangas aussi bien ce livre est-il déconcertant dès l'abord. Heureusement qu'il y a un avertissement, il se lit dans le sens de lecture originale japonaise, c'est à dire de droite à gauche, il faut donc le lire à l'envers de nos livres occidentaux traditionnels, en commençant par la fin ! Cela a été un peu déroutant pour moi mais je m'y suis rapidement fait. Il s'agit d'une édition originale publiée au Japon en 2009 et traduite. L'auteure, une femme dont je ne connaissais pas auparavant l'existence, se présente qu'une manière originale à son lecteur en lui donnant la date de son anniversaire, son signe astrologique et... son groupe sanguin ! Elle nous confie que ce manga est le 5° qu'elle publie et que cela n'a pas été simple. Elle a dû faite tomber pas mal d'obstacles et on devine aisément lesquels. Elle précise que le deuxième tome est encore inédit.



Cette bande dessinée se compose de trois histoires qu'il est inutile de résumer, « Docteur Lapin et Mister Tigre », « Ça s'écrit mensonge mais ça se lit vérité » et « Manhood child », déclinées sur le même thème, celui de l'homosexualité masculine. Après tout, pourquoi pas ? Je ne connais pas la société japonaise, ses habitudes, ses convenances mais j'imagine qu'elle ressemble un peu à la nôtre quand il s'agit de l'hypocrisie. L'homosexualité doit y être bannie ou sûrement dissimulée aux regards, tolérée peut-être comme chez nous même si elle y est de plus en plus admise, au moins officiellement. Ce n'est pas parce qu'elle n'est pas dans la norme qu'on doit la rejeter et cette sacro-sainte doctrine qui a été inspirée par la religion, les convenances sociales et les règles relatives à la procréation a, chez nous, quelque peu évolué ces derniers temps sur le plan de la loi, des coutumes et du changement des mentalités. Cette acceptation de l'autre, forcément différent, fait partie de la démocratie et être dans la norme sexuellement admise, une relation homme-femme, n'exclus évidement pas le mensonge, la trahison, l’adultère qui sont des composantes ordinaires de l'espèce humaine. Je ne suis pas, tant s'en faut, un spécialiste de l'homosexualité, ni même un amateur, je crois ne pas être homophobe non plus mais pour une fois que cette société basée sur le jésuitisme accepte de transgresser, sous la forme d'une œuvre rendue publique, un traditionnel interdit, ce n'est déjà pas mal. Il y eu certes des précédents célèbres par le passé mais ils se sont toujours accompagnés de protestations au nom de la morale et des bonnes mœurs.



J'ai finalement bien aimé ces trois histoires d'amour et j'attends le 2° tome qui je pense me plaira, autant pour le graphisme si particulier des mangas que pour l'histoire déclinée tout en nuances et demi-teinte, plus subjective, qui laisse deviner les choses beaucoup plus qu'elle ne les montre et conjugue un texte minimaliste avec des dessins épurés. Les liens amoureux entre les partenaires masculins y sont montrés d'une manière subtile et ni la présence fortuite d'une femme ni même ses manœuvres ne réussissent à les perturber (« Ça s'écrit mensonge mis ça se lit vérité » - «  Manhood Chlid »). La découverte de la mutuelle attirance qui existe entre Mr Tigre et Uzuki à la suite d'une méprise du premier sur le look androgyne du second est bien amenée.



©Hervé GAUTIER – Décembre 2014 - http://hervegautier.e-monsite.com
Lien : http://hervegautier.e-monsit..

Alors qu'il rentre chez après sa journée de travail, le docteur Uzuki découvre un yakuza blessé par balle dans une ruelle. Il le soigne malgré sa peur et détale ensuite comme un lapin.

Le lendemain, Nonami, le yakuza en question débarque à l'hôpital d'Uzuki cherchant la femme dont il est tombé amoureux la nuit précédente et qui s'appelle "Suzuki".

Cependant, comment cacher à Nonami que Suzuki est en fait Uzuki, un homme alors qu'il n'est pas gay, surtout qu'il risque d'avoir une réaction violente ... ?



Tout d'abord merci à babelio et aux éditions Taifu manga pour ce manga que j'ai reçu dans le cadre du dernier masse critique.

Ca fait un certain temps que j'avais envie de le lire puisque j'avais lu de très bonnes critiques sur ce dernier. Je dois dire que je n'ai pas été déçue ... mais plutôt frustrée de ne pas avoir le second tome sous la main.

Il ne faut pas trop se fier à la couverture, les dessins sont plus détailés qu'anoncés à première vue mais tout aussi mignon avec l'apparition de temps en temps du tigre et du lapin.

L'arrière plan est assez vide mais cela ne m'a dérangé.

J'ai trouvé également que le caractère des personnages était plutôt vraissemblables et ne rendent pas les choses simple. A ce propos, j'ai quand même regretté que les sentiments d'Uzuki apparaissent aussi vite.



Enfin, comme souvent dans les yaoi, une petite histoire est suivie à la fin de chaque volume. Ici, nous avons l'histoire de Kyôhei et Kazushi que je trouve vraiment bien dessinée et que j'ai hate de suivre !



J'achèterais surement la suite !

Un manga plutôt sympa avec quelques scènes vraiment drôle.



Dans le second tome les choses bougent beaucoup plus vite et de nombreuses surprises nous attendent. Les yakuzas quittent l’hôpital, on en apprend plus sur les deux protagonistes et leur relation avance doucement bien qu’aucun des deux ne soit très doué pour se faire comprendre.



Ça aurait pu être un manga relativement tout public mais, bon, ça parle de yakuzas et parfois ça dérape et certaines scènes sont violentes.

Malgré tout ça reste aussi une histoire drôle et, d’une certaine façon, parfois assez tendre.



Les deux premiers tomes se clôturent par une histoire courte assez sympathique bien que j’aurais préféré voir leur histoire avancer.

Ce n’est pas un coup de cœur mais c’est une bonne petite série, avec un bon rythme, de bon persos et une idée si pas originale, au moins traitée intelligemment.



(Lire la suite sur le blog)
Lien : http://kobaitchi.com/docteur..

Un soir, dans un ruelle sombre, un jeune médecin va porter assistance à un yakuza blessé. Celui ci, le prenant pour une femme, va s’en enticher et, dés le lendemain, fera admettre un de ses hommes à l’hôpital dans l’intention de mettre la main sur celle qu’il appelle son rossignol.



N’ayant reconnu son crush dans aucune des infirmières ni des doctoresses et se sentant étrangement attiré par le médecin attitré à son subalterne il va découvrir l’identité de celui ci et accusera la coup plus ou moins bien. S’en suivra un jeu du chat et de la souris où le yakuza s’amusera au dépend du petit docteur dans le but évident de cacher son propre trouble.

Étrangement, pourtant, le tigre s’avèrera plus attentionné et gentil que ce à quoi on se serait attendu.



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Le Docteur Uzuki ne s'attendait pas à autant de problèmes en soignant un homme blessé dans la rue. Cependant, depuis qu'il a sauvé Nonami, leader d'un clan, il est plongé malgré lui dans le monde impitoyable des yakuzas.

Les deux hommes sont attirés l'un par l'autre mais le travail de l'autre et l'incertitude de l'autre sont des obstacles à leur rapprochement.... .



Un peu déçue par ce second volume. Je comprend bien que le fait de tomber amoureux d'un homme est destabilisant lorsque l'on n'est pas gay mais j'ai du mal avec le comportement de Nonami. Tantôt agressif, tantôt tendre, je ne trouve pas son comportement très logique ni réaliste.



Peut-être suis-je trop fleur bleue ... mais je ne suis pas sûre de lire la suite.