C'est alors que le sourire du Sphinx nous mit vaguement mal à l'aise, et nous incita à nous demander si ces légendes au sujet de passages souterrains creusés sous la monstrueuse créature avaient quelque fondement; on racontait qu'ils plongeaient profondément sous terre, si profondément en fait que personne n'osait dire à quel point - seulement s'il s'agissait de profondeurs reliées à des mystères plus anciens encore que ceux de l’Égypte dynastique que nous mettons au jour, et sinistrement reliés à la présence persistante de dieux anormaux, à tête d'animaux, dans l'ancien panthéon de la vallée du Nil.
("Prisonnier des pharaons")