Ce fut dans le silence d'un petit matin froid qu'éclata le crépitement d'une rafale de mitraillette. L'air était si calme que les détonations furent entendues jusqu'au centre du village, et que toutes les têtes se retournèrent, tandis que les mouvements s'interrompaient et que la même inquiétude se faisait jour chez les Pauléens. Depuis que les Allemands étaient arrivés, pas un seul coup de feu ne s'était fait entendre.