Ce matin, avant de s'orienter par ici, Yang s'arrête, en proie à une étrange sensation. De même que l'eau d'un lac paisible est troublée par la chute d'un caillou, des rides se forment sur la surface d'ordinaire étale de son cœur.
Ce tourment étreint quiconque est placé devant un choix [...]
Après une brève hésitation, il resserre son emprise sur le manche de la faucille et dirige ses pas vers le chemin par là. (p. 39)