Cela faisait penser, également, à la dépendance du cerveau humain naturel par rapport au corps humain naturel : on avait beau être intelligent, perceptif et doué, on avait beau mener une vie ascétique dédiée aux seuls plaisirs de l’intellect, fuir le monde matériel et l’ignominie de la chair, il suffisait que le cœur lâche…