je pensais souvent à eux, je me demandais comment ils s'épanouissaient physiquement et intellectuellement... Je réussissais à avoir de leurs nouvelles par des amis restés au pays et j'essayais de leur en donner des miennes... Mais je ne peux pas dire qu'ils me manquaient. [...] Pourtant j'aimais -j'aime toujours mes enfants (p.137)