Je n’ai pas besoin de consulter ses pages, désormais jaunies, pour me rappeler ce que je lui avais confié cet après-midi-là : mes pensées du jour à propos de mes deux inimitables amis, Sherlock Holmes et Arsène Lupin. Depuis que j’étais installée à Londres, je fréquentais le premier de manière régulière ; quant au second, il explorait le vaste monde avec le cirque où travaillait son père.